Premiers essais
Ce matin à nouveau touché par la flemme, je n'ai réussi à me lancer que vers 11h00. Endormi par des papouilles vers 22h00hier, je me suis levé à 07h30 accompagné, de mes biloutes.
Un petit matin où tout, semble aller doucement, sauf la trotteuse qui n'oublie rien du temps qui file. J'ouvre les volets, sur la vallée voilée de volutes fumées, provenant de quelque jardin où déjà s'activent les faiseurs de beaux fruits. Le ciel est libre de tout nuage, bleu moelleux; il n'a pas l'intensité du bleu Klein non, juste, du petit matin, tranquille. Je sais qu'il me reste un crumble aux pommes et noisettes à finir, comprenez moi, aller courir à jeun dans ces conditions là?
Vous ai-je dit que j'étais sucré, enfin il s'agit de goût, j'aime la douceur du sucre, rapadura, toute une histoire.
Après m'être payé une bonne tranche de rigolade en chamaillerie avec mes deux petzouilles, je chausse, enfin décidé.
Une vingtaine de minutes d'échauffement un peu rapide peut être, j'essaie le mil sur une distance approximative de goudron à lacets dont la planéité est à évaluée, 4'00"19.
Là, je me dis que je n'ai pas assez tappé dedans, je récupère en course lente en retour au point de départ et me lance à nouveau, 4'04". Bon, pour l'instant je vais me fier à ce temps de 4' pour la VMA.
Dans quinze jours je ferai un autre essai. Je n'ai pas rendu mes trippes, mais est-ce nécessaire?
Je crois avoir géré la course correctement. Trois quart d'heure de course en tout, les fessiers me font encore sentir les efforts. J'entame le 104: Un peu plus loin dans le fractionné, autre occasion de remercier tous ceux qui m'encouragent et les gars d'AEC.
Un petit matin où tout, semble aller doucement, sauf la trotteuse qui n'oublie rien du temps qui file. J'ouvre les volets, sur la vallée voilée de volutes fumées, provenant de quelque jardin où déjà s'activent les faiseurs de beaux fruits. Le ciel est libre de tout nuage, bleu moelleux; il n'a pas l'intensité du bleu Klein non, juste, du petit matin, tranquille. Je sais qu'il me reste un crumble aux pommes et noisettes à finir, comprenez moi, aller courir à jeun dans ces conditions là?
Vous ai-je dit que j'étais sucré, enfin il s'agit de goût, j'aime la douceur du sucre, rapadura, toute une histoire.
Après m'être payé une bonne tranche de rigolade en chamaillerie avec mes deux petzouilles, je chausse, enfin décidé.
Une vingtaine de minutes d'échauffement un peu rapide peut être, j'essaie le mil sur une distance approximative de goudron à lacets dont la planéité est à évaluée, 4'00"19.
Là, je me dis que je n'ai pas assez tappé dedans, je récupère en course lente en retour au point de départ et me lance à nouveau, 4'04". Bon, pour l'instant je vais me fier à ce temps de 4' pour la VMA.
Dans quinze jours je ferai un autre essai. Je n'ai pas rendu mes trippes, mais est-ce nécessaire?
Je crois avoir géré la course correctement. Trois quart d'heure de course en tout, les fessiers me font encore sentir les efforts. J'entame le 104: Un peu plus loin dans le fractionné, autre occasion de remercier tous ceux qui m'encouragent et les gars d'AEC.