sport-recommencer toujours
Bonjour à tous, parodiant un livre pour enfant mettant en vedette un chat, avec quelques changements j'écrirais: "Ce matin j'ai pri (mes running) et je suis parti". Je ne suis pas allé sur la lune mais sur les chemins ressources. Après un trop long passage à vide post trail durant lequel j'ai pu penser que mon envie de courir était noyée sous ce temps couleur béton, mes hommages à Le Corbusier que j'affectionne; la flamme est réapparue hier soir après qu'une petite douleur dorsale s'est faite oublier. Ce matin je suis parti et une demi heure plus tard, après avoir souffert en dépit des progrès que les entraînements ont pu m'apporter, je vous fais part de mes impressions empruntes d'un brin de désillusion. Je suis parti sur la base d'un 5Km que j'avais prévu cool mais me laissant entraîner par l'exhaltation du moment, j'ai refait mes 23'. Alors désilusion, où ça? C'est que pendant que j'appréciais ma bonne cadence, je me laissais bercer par l'espoir candide de faire mieux. Les espoirs ne sont que chimères sans travail?
Ce weekend j'attaque le troisième plan.
Je passe un bonjour à Charlotte participante du trail en 1h14'36", qui a eu la délicate attention de demander à ma Douce si j'avais bien récupéré? J'ai mi le temps et j'ai récupéré, je me relève motivé.
Je ne pensais pas avoir sollicité autant d'énergie ce dimanche 27 mai. Sans doute l'ivresse d'avoir fait mieux que ce à quoi je m'attendais: l'espoir? Le travail je vous dis! Salut à tous ceux qui m'encouragent de leur commentaires.
Ce weekend j'attaque le troisième plan.
Je passe un bonjour à Charlotte participante du trail en 1h14'36", qui a eu la délicate attention de demander à ma Douce si j'avais bien récupéré? J'ai mi le temps et j'ai récupéré, je me relève motivé.
Je ne pensais pas avoir sollicité autant d'énergie ce dimanche 27 mai. Sans doute l'ivresse d'avoir fait mieux que ce à quoi je m'attendais: l'espoir? Le travail je vous dis! Salut à tous ceux qui m'encouragent de leur commentaires.